Service solaire

Au sein du service Promotion, leurs activités sont liées et leurs rôles complémentaires autour des événements créés pour vivre Excelia de l'intérieur. « Dès que les prospects y mettent un pied, ils sont conquis ! » constatent Alexia et Julie.

Or, les occasions de visiter l'école et de devenir l'un des 2900 nouveaux entrants par an ne manquent pas. Les Portes ouvertes multicampus permettent de rencontrer 2000 personnes qui peuvent discuter avec les directeurs de programmes et bénéficier in situ des retours d'expériences d'alumni et d'étudiants.

Une trentaine de salons partout en France ont attiré 2675 visiteurs depuis octobre, 3800 sont escomptés à fin février. S'y ajoutent les journées d'immersion « 24 ou 48 h chrono » selon les campus et l'opération « Excelia en tournée au Maroc » pour une masterclass avec la possibilité de passer le concours.

Lors des journées de concours sur place, qui ont lieu tout au long de l'année, les équipes veillent à l'excellence de « l'expérience candidat », depuis l'accueil à la gare jusqu'à l'entretien de motivation en passant par une visite de la ville et de nombreuses surprises, « il y a toujours un petit plus » qui conviendra spécifiquement à une personne donnée. « Certes, nous participons à la croissance du groupe, mais nous avons à cœur d'avoir un rôle de conseil dans l'orientation de nos prospects » souligne Julie. Alexia confirme : « On ne traite pas des numéros ! On connaît tous les candidats par leurs prénoms, suivis individuellement jusqu'à leur admission. Une proximité permise par une équipe promotion/event sans faille et qui conseille à bon escient. »

L'autre botte secrète de ces dames : l'état d'esprit aidant des 200 ambassadeurs, étudiants de tous programmes, années et campus confondus. Essentiels, ils vaudraient à eux seuls un article entier !

Le BDS pleine balle !

Le BDS est la 1re association en termes d'effectifs avec 70 membres. Elle comprend 2 clubs – XL Cheers, club de cheerleading, et BD'X, le bureau des sports extrêmes qui, avis aux amateurs, organise un séjour au ski du 11 au 18 février (renseignements auprès du BDS).

Dès le printemps 2022, le projet, présenté en soutenance, de Benjamin Prosper, Mattéo Jouve, président et vice-président, Pablo Aguano, responsable événementiel, Naomie Conde, chef de projet innovation, Charlotte Blet et Elodie Manis, responsables communication, avait immédiatement été retenu. Durant l'été, en application du parcours de management associatif renforcé, ce sont tous les volets administratif, bancaire, assurantiel, les événements, les ressources, les partenaires, les relations avec les fédérations sportives, avec le SUAPSE*, la gestion des risques, de la sécurité, etc. qui ont été travaillés en amont pour pouvoir dès la rentrée se concentrer sur l'humain et le recrutement des forces vives ! En effet, outre une mise en lumière notamment via les SCAP** des événements de toute la vie associative, le BDS a remis du lustre et de la joie dans les sports collectifs : cinq ballons - rugby, foot, hand, basket, volley -, cinq équipes masculines et trois féminines en championnat universitaire national et en compétition. Un pôle de supporters « pas bagarreurs » a été recréé, les pom-pom girls sont débridées, et l'ambiance pendant les matches, survoltée.

« Le match de basket du 29 novembre dernier se passait dans un gymnase : les arbitres ne s'entendaient pas parler tant les 200 spectateurs chantaient, c'était impressionnant. On a réussi à faire passer le message : vos potes font du sport, allez les voir et les soutenir, vous allez vous régaler ! Même les deux référentes de Student Life qui accompagnent les assos étaient venues voir le match avec leurs enfants ! ». Ou comment le BDS fait rebondir la joie du sport...

^*Service universitaire des activités physiques sportives et d'expression
^**Sport, Communication, Associations et Promotion

DÉcanat

Les pilotes de l'innovation

Le Comité de pilotage de l'innovation pédagogique est présidé par Valérie Fernandes, doyenne du corps professoral, et organisé par Excelia Lab - les ingénieurs pédagogiques Caroline O'Neill, Clément Martineau et Clara Guilloteau, la responsable de la qualité pédagogique Alexandra Baud, l'Innov Case Lab et le Game Lab.

Deux fois par an, le Copil présente des projets et expériences en cours ou abouties aux directions des programmes et des pôles stratégiques, à la direction de la Transformation digitale et à des enseignants. Tous ont ainsi le même niveau d'information pour partager leurs regards, débattre et valider les grandes orientations pédagogiques. « Il s'agit de maintenir un dialogue et une dynamique entre les enseignants mais aussi entre les différents programmes » indique Valérie Fernandes qui donne un aperçu du contenu des deux heures réservées à un aréopage le 19 décembre : des témoignages, la présentation de cas, de jeux et d'expériences comme l'immersion dans le métavers « Red Alert ! », et d'autres « pépites », capsules de e-learning innovantes et jeux à utiliser en cours, disponibles à l'XL Library ou à la XL Factory.

Les débats auront lieu à l'aune des grands enjeux actuels avec la restitution de l'intégration de la transition écologique et sociale dans les enseignements ou encore le questionnement du découpage des programmes en blocs de compétences.

Outre le Copil, Excelia Lab organise des séminaires pédagogiques d'hiver et d'été pour la Faculté : rendez-vous le 19 janvier pour tous les professeurs cette fois. Les « cafés pédagogiques » à leur intention ont été relancés à raison de deux par mois sur le campus de La Rochelle et mensuellement sur le campus de Tours pour aborder des sujets particuliers liés à la pédagogie. Le tout sans oublier le Plan de développement des compétences impliquant au moins une journée de formation et des mini-formations tout au long de l'année. Eh oui, les enseignants aiment toujours apprendre !

Vincent et Valentin Richeux

Exceliens de père en fils !

MM. Richeux, pouvez-vous faire une petite photo de votre actualité et de votre parcours pour les lecteurs d'Inside Excelia ?
Valentin : J'étais auparavant en classe prépa intégrée à l'Eigsi, mais en fait cela ne coïncidait pas avec mon projet professionnel. Même si c'est encore un peu flou, je souhaite faire un métier avec un impact environnemental et social, tout lié à l'Océan, dans le surf ou dans le naval, avec un côté créatif que je ne trouvais pas en filière Physique-Chimie. Je suis à l'aise à l'oral, j'aime le graphisme et aussi la géo-politique. Etudiant en 1re année de BBA International, c'est justement ce côté international qui m'a plu. Je voudrais aller à Melbourne en expatriation académique pour la 3e année, mais j'ai déjà une mission Humacité© cette année, objectif Amérique du Sud.
Vincent : Chez Excelia, à mon époque Sup de Co La Rochelle, l'option que j'avais choisie était Communication et Marketing. J'ai ensuite travaillé 5 ans dans l'industrie viticole à Bordeaux pour un gros négociant en prenant en charge toutes les facettes de la communication, puis j'ai travaillé en agence avec un fort aspect créatif, or c'est ce qui me plaisait le plus. J'ai alors décidé de me consacrer à la peinture pendant une année d'essai. Vingt ans et deux enfants plus tard, je vis de mon métier d'artiste, j'habite à Montalivet à 200 m de la mer et je profite du temps présent.

Excelia ça représente quoi pour vous ?
Valentin : L'anglais ! Je suis en english track, avec des cours en anglais toute la journée de 8 h à 18 h : j'ai pris le double de mon niveau. Ce qui me plaît particulièrement, c'est la diversité et le côté multiculturel, il n'y a pas d'uniformité : dans ma classe il y a un militaire, un Libanais, une Chinoise...
Vincent : Le bon choix il y a 29 ans, lequel continue de nourrir mon parcours d'homme aujourd'hui. Tout ce que j'y ai appris me sert encore tous les jours. Et maintenant que je suis du côté « parents », je suis impressionné par l'organisation, tellement carrée, cadrée, c'est très rassurant.

Pensez-vous vous inspirer réciproquement ?
Valentin : Oui, les parents sont une source d'inspiration et d'observation. Le travail de mon père, ce n'est jamais la même chose, il y a l'aspect entrepreneurial avec les expos à gérer, le budget, les coups de mou, ça bouge... J'étais un peu inquiet des conséquences de mon changement d'orientation, je suis heureux d'avoir le soutien de mes parents par rapport à ma décision et à la dimension financière que cela implique.
Vincent : Le Master de Parent, ça n'existe pas. Mais je crois qu'il faut toujours maintenir le lien, malgré les divergences d'opinion, de caractère... Je vois que Valentin ressent assez de confiance et de dialogue dans notre famille pour exprimer sa volonté de changement. Il l'a assumée, par exemple en travaillant entre l'EIGSI et Excelia, à mon sens un gage de maturité. Et on discute, il m'apprend beaucoup, il s'intéresse à tellement de trucs que j'ai du mal à suivre.

Double-Richeux, double réseau ?
Valentin : Grâce à des événements organisés par Excelia Alumni, j'ai pu rencontrer des pros et bénéficier de leurs conseils, travailler le réseau via LinkedIn... Cela me servira pour mes recherches de poste à l'international. Je crée aussi des liens avec des relations de mon père, Alumni est très intergénérationnel, c'est tout l'intérêt.
Vincent : Pas une semaine ne se passe sans que j'aie un nouveau contact lié à mes deux ans et demi dans cette école. J'ai aujourd'hui plus d'amis que jamais par le biais du réseau de diplômés, je maintiens de jolis liens, super riches et désintéressés.

À part une interview pour Inside Excelia, qu'est-ce que vous faites ensemble ?
Valentin : L'interview, on n'a jamais fait ça, là encore, j'apprends ! On fait du surf avec mon petit frère Matis, mais mon père prend toutes les vagues !
Vincent : (Certes, mais mal !) J'ai accompagné Valentin en championnat du monde de wave-ski, il m'a permis de vivre ça !

Le mot de la fin ?
Vincent : Inspirez-vous de ceux qui ont du vécu pour écrire votre chemin, même si cela vous fait dévier, il n'y a pas de linéarité. Enfin, je tiens à dire à quel point je suis fier que mon fils, fou de La Rochelle, soit si épanoui. « Tu seras un homme, mon fils », c'est un poème de Kipling, je vais te l'envoyer Valentin !

Focus Presse

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